VENITE AD ME…

 

VENITE AD ME…

Vous que le temps frappa de plus d’une blessure,
Qui portez sur vos traits l’effet de ses injures,
Venez à moi, je sais guérir la flétrissure,
Et la double vertu de ma pâte si pure,
Régénère, embellit, restaure la nature.

Paru les 20 octobre 1889 dans La Croix.

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