GLISSEZ, MORTELS, N’APPUYEZ PAS !

 

GLISSEZ, MORTELS, N’APPUYEZ PAS !

« J’ai fixé ton budget, chère, pour l’an qui vient :
» Tant par mois pour chapeaux, robes, rubans, satins,
» Autant pour les raouts, thés, goûters et festins,
» Et, comme supplément, pour la parfumerie,
» Tant pour ton cher Congo, qui te fait si jolie. »

Paru le 19 octobre 1889 dans La Vie Parisienne.

Commentaires fermés.