MON COIFFEUR

 

MON COIFFEUR

Mon coiffeur, né malin, deux fois — comme barbier
Comme Français, ensuite — ne me rase
Qu’avec le pur savon dont la pâte a pour base
Les sucs rafraîchissants qu’au Congo va chercher
Le bienfaiteur de tous : J’ai dit Victor Vaissier.

Paru le 14 octobre 1889 dans La Lanterne.

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