POLYPHÈME
Polyphème n’avait qu’un œil,
Mais cet œil était beau quand même ;
On lui disait : « Bichon, je t’aime
» Car ton œil, ton œil d’écureuil
» Sent le Congo, cher Polyphème ! »
Paru le 9 septembre 1889 dans Le Petit Parisien.
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète