JEUNE GARDE
Je l’avais connue laide, à la peau jaune et sèche,
Bref, ce qu’on nomme un « vieux tableau ».
Je la retrouve enfin, plus fraîche qu’une pêche.
C’est ton œuvre, ô divin Congo !
Paru le 9 août 1889 dans L’Intransigeant ;
le 12 août 1889 dans Le Petit Parisien.
Notes :
Dans L’Intransigeant, les deux derniers vers diffèrent :
Et je l’ai retrouvée plus fraîche qu’une pêche :
C’est ton œuvre, ô mon doux Congo !