TÊTE ET CORPS
Tu peux avoir le corps d’une blancheur parfaite,
Mais ton visage, atteint par les feux du soleil,
N’acquerra le teint clair, à l’ivoire pareil
Que lorsque le Congo t’aura refait la tête.
Paru le 20 juillet 1889 dans L’Intransigeant ;
le 22 juillet 1889 dans Le Petit Parisien.