[sans titre]
Quand j’étais au Lycée, imberbe et pur potache,
Cora — pour un écu — me donnait du plaisir…
Je n’ai plus de cheveux, je noircis ma moustache,
Mais c’est encor Cora dont mon fils s’amourache,
Dont le corps printanier exalte le désir,
Car le divin Congo l’empêche de vieillir !
Paru le 20 juillet 1889 dans La Vie Parisienne.