AÏCHA
Pour la danse du ventre, elle n’a point d’égale,
Et ses déhanchements font courir tout Paris ;
Mais sous le tulle on voit que ce ventre poli
Emprunte au fin Congo sa blancheur anormale.
Paru le 24 juin 1889 dans La Lanterne.
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète