LA PRIÈRE D’UNE COQUETTE
Achève, ô doux savon, l’œuvre réparatrice !
Donne-moi le teint pur de la beauté novice,
Que le temps des soucis et des dédains finisse !
Et vous, ô cœurs errants, qu’enfin je vous ravisse !
Paru le 14 juin 1889 dans Le Petit Journal.