[sans titre]
Le plaisir, en été, laisse nos corps lassés ;
L’énervante chaleur, en détendant les fibres,
Paralyse l’élan d’un cœur où rien ne vibre…
Mais, au sortir d’un bain du Congo de Vaissier,
L’Amour soudain se sent victorieux et libre !
Paru le 8 juin 1889 dans La Vie Parisienne.