L’OPINION DE BOILEAU
Écoutez ce qu’a dit notre immortel Boileau :
De Paris au Pérou, du Gabon jusqu’à Rome,
Le plus sot animal, à mon avis, c’est l’homme…
Qui ne s’est pas servi du Savon du Congo.
Paru le 19 mai 1889 dans La Croix.
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète