À METTRE EN MUSIQUE
J’ai gravi tes hauteurs, ô Tour monumentale !
Congo, j’ai respiré ta senteur idéale !
Et je t’attends tranquille, ô Mort ! Tu peux venir,
Car de bonheurs plus grands je ne saurais jouir !
Paru le 17 mai 1889 dans Gil Blas.
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète