MON PORTE-VEINE
— C’est un vrai parfum porte-veine !
Depuis que je m’en sers, les amis par douzaine
Encombrent mon boudoir de bouquets, de cadeaux,
Et je roule sur l’or. À toi merci, Congo !
Paru le 4 mai 1889 dans La Vie Parisienne.
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète