LAISSEZ-LE RÉGNER !

 

LAISSEZ-LE RÉGNER !

Je ne suis point l’ami du César qu’on poursuit,
Mais ce que j’aime, en lui, c’est l’odeur dont s’inonde
Son corps bien conservé et sa barbe très blonde ;
Sans le Congo, voyons, aurait-il un parti ?

Paru le 2 avril 1889 dans Gil Blas.

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