SANS RIVAL

 

SANS RIVAL

Quand de sa douce main, je sens la fine peau,
Quand je prends un baiser dessus sa nuque ronde,
Je me dis justement qu’il n’est de par le monde
Qu’un parfum sans rival, c’est celui du Congo.

Paru le 23 mars 1889 dans Le Petit Parisien ;
le 8 avril 1889 dans Le Petit Troyen ;
le 21 avril 1889 dans Le Démocrate de Seine-et-Oise.

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