FABLE
Quand il vit qu’à ses maux l’homme était plus rebelle,
Que la femme restait à l’abri de ses maux ;
Qu’enfin, grâce au Congo, l’humanité mortelle
N’avait plus peur de lui, le Temps brisa sa faux.
Paru le 18 mars 1889 dans Le Petit Parisien ;
le 14 avril 1889 dans Le Figaro.
Notes :
Dans Le Figaro, le premiers vers diffère :
Quand il vit qu’à ses coups l’homme était plus rebelle