MATINALE PRIÈRE

 

MATINALE PRIÈRE

Au matin, quand baignant sa mignonne figure,
Ma belle s’aperçoit des douceurs de sa peau,
Entre sa lèvre pourpre on l’entend qui murmure :
« Sois béni mille fois, ô Savon du Congo ! »

Paru le 5 mars 1889 dans Le Petit Parisien ;
le 7 avril 1889 dans Le Petit Troyen ;
le 14 avril 1889 dans Le Démocrate de Seine-et-Oise.

Notes :

Dans Le Démocrate de Seine-et-Oise, les deuxième et troisième vers diffèrent :

Ma belle s’aperçoit des douleurs de sa peau,
Dedans sa lèvre pourpre on l’entend qui murmure :

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