L’AVEUGLE
— Mon œil vide n’a plus la vision des choses,
Vivant, je suis plongé dans la nuit du tombeau ;
Mais je crois voir le ciel, la jeunesse, les roses,
En respirant l’odeur vibrante du Congo !
Paru le 22 février 1889 dans Le Petit Journal.
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète