[sans titre]

 

[sans titre]

— La poudre vous va bien. — Mais je n’en porte pas !
— Je croyais… Le fard seul peut donner tant d’éclat…
— C’est une erreur, ma chère. Essuyez mon visage,
La blancheur de mon teint ne craint pas le lavage ;
Je suis nature, enfin. Vous en direz autant
Quand l’emploi du Congo vous rendra vos vingt ans !

Paru le 9 février 1889 dans La Vie Parisienne.

Commentaires fermés.