L’ÉTERNITÉ DES SOURIRES

 

L’ÉTERNITÉ DES SOURIRES

Tant qu’autour du Soleil voyagera la Terre,
Les ans seront toujours trop vite révolus ;
Mais l’on ne verra point de visage sévère,
Puisque avec le Congo l’on ne vieillira plus !

Paru le 11 décembre 1888 dans Le Petit Journal ;
le 10 février 1889 dans Le Figaro ;
le 11 février 1889 dans La Lanterne.

Variante :

Dans La Lanterne, le poème, titré « Éternité de jeunesse », diffère en son troisième vers :

Mais l’on ne verra plus de visage sévère,

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