AT HOME

 

AT HOME

Les fleurs ne parent plus l’appui de ma fenêtre
Et mon étroit logis ne voit plus le soleil ;
Mais l’aimable printemps à mon gré peut renaître,
Car un pain de Congo me fait le teint vermeil
Et remplit de parfums les murs qui m’ont vu naître.

Paru le 27 novembre 1888 dans Le Figaro ;
le 21 décembre 1888 dans Le Petit Troyen.

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