SOUVENANCES

 

SOUVENANCES

Tous ces poulets doux, ces mèches que j’aime,
Tous ces souvenirs des temps écoulés,
Sentiraient parfois le moisi quand même,
Comme mon cœur mort — s’ils n’étaient placés
Près de mes savons (Congo) parfumés.

Paru le 26 novembre 1888 dans La Lanterne et Le Petit Parisien.

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