MARBRE ET SATIN

 

MARBRE ET SATIN

Son corps est de satin et de marbre à la fois,
Et Pâris, sans erreur, lui eût offert la pomme
En méprisant Vénus !
 Elle eut dicté des lois
Aux juges de Phryné, des gaillards paillards comme
Les birbes de Suzanne, et si son corps est beau,
Superbe, elle le doit aux Savons du Congo.

Paru le 19 novembre 1888 dans La Lanterne et Le Petit Parisien ;
le 3 décembre 1888 dans Le Petit Troyen ;
le 30 décembre 1888 dans Le Démocrate de Seine-et-Oise.

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