CONGO
Adiou, Canébière ! Adiou, pauvré vieille,
Zé m’en vais à Roubaix. Ton savon dé Marseille
Mé rend plein dé boutons, mé fait zercer la peau,
Et zé pars chez Vaissier, mé guérir au Congo.
Paru le 18 novembre 1888 dans Le Figaro.
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète