[sans titre]

 

[sans titre]

Avez-vous lu dans les journaux
Ces vers inédits de Prado
À Mauricette Couronneau ?
« Quand je te vis, chère, à Bordeaux,
» Comme Antinoüs j’étais beau…
» À ton cœur je fis un accroc…
» Mais, quand chez le juge Guillot
» Nous échangeâmes quelques mots,
» J’étais maigri, jauni, vieillot,
» Car en prison, mon p’tit poulot,
» On nous refuse du Congo ! »

Paru le 10 novembre 1888 dans La Vie Parisienne.

Commentaires fermés.