À ZOLA

 

À ZOLA

Nous voyons donc Zola dédaigner la mélasse,
Faire un roman si pur qu’un doux ange y trépasse
D’un platonique amour ; or, le fait est nouveau.
On nous dit : « Nous savons comment il se décrasse,
» Il a lavé sa prose au Savon du Congo. »

Paru le 22 octobre 1888 dans La Lanterne ;
le 6 décembre 1888 dans Le Figaro.

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