PUDEURS OFFICIELLES

 

PUDEURS OFFICIELLES

Le chaste Ferrouillat, dont la pudeur s’obstine
À proscrire le nu, même sur les dessins,
N’aime pas le Congo, dont l’odeur assassine
Fait germer en son cœur de folâtres desseins !

Paru le 10 septembre 1888 dans Gil Blas ;
le 21 octobre 1888 dans Le Figaro.

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