BIEN ASSEZ TÔT
Dors, gentil chérubin, dans ton frêle berceau !
Un jour les pleurs viendront ternir ces yeux limpides,
Et quand, sur ce front pur apparaîtront les rides,
Comme nous tu devras faire appel au Congo !
Paru le 27 août 1888 dans Le Petit Journal.