AVEU D’UN VIEUX BEAU
Autrefois, je mettais une heure et davantage
Pour peindre, restaurer, rajeunir son visage.
Un instant me suffit, et je suis bien plus beau
Depuis que je me soigne au merveilleux Congo.
Paru le 26 août 1888 dans Gil Blas.
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète