BRISES DE MAI
Nulle brise, au pays charmant des orangers,
N’a d’aussi fins parfums que le Congo Vaissier.
Nulle pâte de lait, d’ambroisie et de miel,
N’adoucit comme lui ton teint rude, ô mortel ! »
Paru le 28 mai 1888 dans Le Petit Journal.
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète