HEUREUX PIERROT
Cydalise à Pierrot disait :
« Mon singe te voilà moins laid,
» Et tes baisers n’ont plus des relents de farine,
» Depuis que du Congo tu sens l’odeur divine ».
Paru le 25 mai 1888 dans Le Petit Parisien.
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète