DÉLIRE
Que dit tout être qui respire,
Qu’il ait un nez, voire un museau
Il dit : « Je ne saurais vous dire,
» Combien mes sens sont en délire,
» Quand je sens l’odeur du Congo ».
Paru le 19 mai 1888 dans Le Petit Parisien.
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète