AUX FOLIES-BERGÈRE
Les danseuses n’ont plus fards et poudres de riz,
Et cependant leur peau, mieux que jadis est fraîche ;
Ce teint si pur, je sais où chacune le pêche ;
C’est la faute au Congo, ce savon des houris.
Paru le 27 avril 1888 dans La Lanterne et Le Petit Parisien.