LE SECRET D’AMANDA
Amanda, c’est très sûr, me détient par la patte,
Pourquoi ?… Je n’en sais rien… Elle m’a dit tantôt,
Tout en prenant un air mutin de jeune chatte :
C’est la faute au parfum du Savon du Congo.
Paru le 2 avril 1888 dans Le Petit Parisien.