[sans titre]

 

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Yvonne est pratiquante ; et, le soir, en prière,
Elle entoure souvent d’un cilice cruel
Sa chair, pour la punir d’un péché véniel ;
Mais le jeûne achevé, le Congo Vaissier frère
Efface les sillons de la rude lanière,
Et son parfum l’emporte au quatrième ciel.

Paru le 31 mars 1888 dans La Vie Parisienne.

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