[sans titre]

 

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Le logis était plein d’une odeur de baiser…
Sur les coussins, épars, batistes et dentelles,
Tièdes encor du doux contact de Gabrielle,
Dégageaient les parfums du savon de Vaissier,
Et la mignonne, exquise en son déshabillé,
Portait sur tout son corps la jeunesse immortelle
Que donne le Congo, ce trésor de beauté.

Paru le 24 mars 1888 dans La Vie Parisienne.

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