À LA SUITE DU CHAR
Quoiqu’il fasse à Paris le temps le plus atroce,
Quand sur les boulevards passe le beau carrosse
Des Savons du Congo, la foule, saluant,
Sur les pas des chevaux, suit ce char odorant.
Paru le 23 mars 1888 dans La Lanterne ;
le 29 mars 1888 dans Le Figaro.