[sans titre]

 

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— Rose, jetez-moi donc à l’eau
Tous ces fards, ces onguents, ces pâtes et ces crèmes
Qui brûlent mon visage, et le rendent plus blême
Que la face de feu Pierrot !
Je renonce — un peu tard — à ces extraits chimiques,
Et veux, pour retrouver mon éclat magnifique,
Adopter le divin Congo !

Paru le 25 février 1888 dans La Vie Parisienne.

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