LE GALANT PÂRIS
Avec maintes erreurs, il nous faut rompre, en somme,
Vénus, n’en doutez pas, aurait crié : « Haro ! »
Si le berger Pâris eût offert une pomme ;
Ce qu’il offrit, c’était un Savon du Congo.
Paru le 30 janvier 1888 dans La Lanterne.
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète