OH !!!
Travailleur de la nuit, dis-moi comment ta tonne
De son affreuse odeur n’empeste pas ta peau ?
— Pour chasser le fumet dont l’absence t’étonne,
Je me sers du Savon des Princes du Congo.
Paru le 20 janvier 1888 dans Le Petit Parisien.
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète