MUSSET DISAIT :

 

MUSSET DISAIT :

« C’est un fait reconnu qu’une bonne fortune
» Est un sujet divin pour un in-octavo. »
En deux mots, cependant je peux en conter une ;
J’ai trouvé le Savon des Princes du Congo.

Paru le 16 janvier 1888 dans Le Petit Parisien.

Notes :

Les deux premiers vers reprennent le début du poème d’Alfred de Musset « Une bonne fortune » (1834). Le troisième vers transforme celui du même : « Ainsi donc, bravement, je vais en conter une : ».

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