CE TERRIBLE BOIREAU !

 

CE TERRIBLE BOIREAU !

— Vous devrez bien, comtesse, avec l’année nouvelle,
Disait Boireau, changer de peau !
La vôtre se fendille et partout se craquelle,
Comme du vieux cuir à chapeau…
Pour enrayer le mal, lavez-vous au Congo !

Paru le 3 janvier 1888 dans Gil Blas.

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