[sans titre]
Juvénal nous apprend que si Messalina,
La célèbre impudique aux flancs toujours avides,
Jusqu’à l’âge critique eut des appas solides,
Et des fleurs de l’amour longtemps se couronna,
C’est que, grâce au conseil de médecins illustres,
Le Savon du Congo servit à tous ses bains ;
Par lui l’impératrice eut du printemps le lustre,
Et put faire la joie des amoureux Romains.
Paru le 3 décembre 1887 dans La Vie Parisienne.