MIEUX QU’À JOUVENCE

 

MIEUX QU’À JOUVENCE

De Jouvence, jadis, on aima les fontaines ;
Bourgeoises, bergères, mondaines,
Allaient en s’y plongeant refaire leur beauté,
En embaumant leurs corps d’un parfum réputé ;
Les belles d’aujourd’hui sont bien plus désirables,
Employant du Congo les savons délectables.

Paru le 14 novembre 1887 dans La Lanterne et Le Petit Parisien.

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