SANS RIME NI RAISON

 

SANS RIME NI RAISON

Un jeune carabin, voisin d’une fillette,
Lui prêtait quelquefois son Savon du Congo
La charmante revint, grisée par ses parfums.
Aujourd’hui tous les deux s’aiment avec ardeur,
Et ce ménage heureux bénit Messieurs Vaissier !

Paru le 14 octobre 1887 dans Gil Blas.

Commentaires fermés.