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« Il avait un beau teint, dit le Petit Journal,
» La peau d’une blancheur, d’un éclat sans rival. »
Si bien que le bourreau, ses valets, tout le monde,
Admirant ce beau brun, disaient : « C’est une blonde ! »
Celles qui l’ont aimé, ce superbe assassin,
Connaissent le secret de son merveilleux teint ;
Car il ne manquait pas de faire sa toilette
Au Congo, cette exquise et douce savonnette.
Paru le 3 septembre 1887 dans La Vie Parisienne.