[sans titre]

 

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Ah ! marquise, marquise, marquise !
Vous, si coquette et si bien mise,
Pourquoi laisser sur votre teint,
Sur vos épaules de satin,
Ces poudres et ces cosmétiques,
Dangereux et sûrs narcotiques !
Renoncez donc à ces poisons,
Et n’employez que les savons
Si renommés de Vaissier frères,
Ces trésors de beauté, de fraîcheurs printanières !

Paru le 20 août 1887 dans La Vie Parisienne.

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