VOYAGE DE COBOURG

 

VOYAGE DE COBOURG

Il voguait, contemplant les eaux du beau Danube ;
— Après tout, se dit-il, je n’ai rien oublié,
J’ai mon pépin, mon fez, mon bâton de jujube,
Six faux-cols, mon mouchoir, mon moulin à café,
Plus trois pains de Congo pour embaumer ma mie
Pendant mon court séjour dedans la Bulgarie.

Paru le 15 août 1887 dans La Lanterne et Le Petit Parisien.

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