RÉFLEXION D’UN PROLÉTAIRE
Vraiment ! nous avons trop d’minisses,
Point trop d’gros bleu, point trop d’saucisses,
Mais c’dont on n’aura jamais d’trop,
C’est d’ce fin Savon du Congo.
Paru le 8 août 1887 dans La Lanterne et Le Petit Parisien.
Quatrains pour le Savon des Princes du Congo
L'œuvre poétique complète