[sans titre]

 

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J’aime la campagne et les prés en fleurs,
J’aime le ciel bleu, les grands bois pleins d’ombre,
Et les gais concerts des oiseaux chanteurs ;
Mais je leur préfère un boudoir bien sombre,
Tendu de satin, galant et musqué,
Où, dans la fraîcheur d’un bain parfumé,
J’aspire à loisir l’idéal brise
De mon cher Congo, cette chose exquise !

Paru le 23 juillet 1887 dans L’Univers illustré.

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